« Dégagements toxiques vers l’extérieur. »
Source:Incendie
« Dégagements toxiques vers l’extérieur. »
Source:Incendie
« Lundi, vers 18h40, les secours ont été avertis qu’un incendie était en cours, rue Ernest Solvay 376, à Sclessin. Lorsque les pompiers sont arrivés sur les lieux, ils ont constaté que l’usine Lampre, spécialisée dans les tôles pré-revêtues, était la proie des flammes. Le feu s’était déclaré dans des solvants et les émanations rendaient l’atmosphère difficilement respirable. »
Source: La meuse Incendie à cause du solvant
La Maison de Radio France est un établissement construit avant les normes incendies applicables ce jour.C’est un ERP qui recoit 4598 personnes et aussi un IGH.
La Maison de Radio France applique la réglementation des ERP et des IGH
« Hier soir, vers 20h45, un incendie s’est déclaré dans un pressing situé zone des Crozes à Loriol, dans le secteur d’Intermarché. Ce sont des … »
Source:PRESSING DEVASTé
La rédaction de sécurité du travail a communiqué en 2012 et après sur les dangers non maîtrisés des machines non certifiées vendues aux pressings. Il semble que les alertes de dangers graves et imminents n’ont pas été pris en compte.
Publication publiées:
Alerte Pressing: Machines non certifiées
40 SAPEURS-POMPIERS POUR UN PRESSING ?
Alerte de danger grave et imminent lue
« Un ouvrier qui travaillait pour le chantier du tribunal de grande instance (TGI) de Paris, dans le quartier Clichy-Batignolles (XVIIe), a été grièvement blessé après une chute d’un échafaudage, ce jeudi matin, à 10 h 50. L’échafaudage sur lequel il se trouvait s’est effondré. »
Source:Le Parisien
« La détresse de France Javelle, qui s’est suicidée en janvier 2012 en laissant des lettres accablant sa supérieure de l’enseigne à bas coût Tati, a été entendue: la justice a condamné mercredi l’ancienne directrice et fustigé « l’impéritie » de l’entreprise. »
Source: AFP et France 24
« Deux ouvriers sont morts accidentellement jeudi 5 avril sur deux chantiers dans le quartier d’affaires de la Défense, dont l’un victime d’une chute de plus de 20 mètres. »
Source:AFP et France 3
« Six ans d’enquête et de confrontations. Au final, cinq prévenus à être poursuivis pour homicide involontaire, là où il n’y en avait qu’un au départ. Voilà la particularité du procès qui a lieu ce lundi, suite à la mort le 31 janvier 2011 de Nuno Figueiredo Fonseca, un ouvrier du chantier de la passerelle de la voie verte à Boulazac, près de Périgueux en Dordogne. »
Source:https://www.sudouest.fr/

par ailleurs notre analyse ci dessous est toujours actuelle.
« QUI DOIT ESTIMER LA CATÉGORIE « CSPS » DU CHANTIER »
Le Maître d’ouvrage est la personne morale ou physique, publique ou privée, propriétaire ou affectataire du patrimoine immobilier pour le compte duquel vont être effectués des travaux.
Il est titulaire des droits et obligations sur le futur immeuble et ou en réhabilitation et démolition.
Pour la coordination sécurité protection de la santé c’est la circulaire DRT n°96-5 du 10 avril 1996 au paragraphe 5-3 « l’organisation de la mission de coordination » et « au sous paragraphe 5-3-1 qui précise que « le contrat liant le coordonnateur au maître d’ouvrage » développe ce qui suit :
« Il s’agit d’une mission qui repose sur un contrat de prestations intellectuelles,conclu entre le maître d’ouvrage et le coordonnateur (contrat synallagmatique).
Ce contrat est un contrat direct entre le coordonnateur et le maître d’ouvrage. Le législateur a prévu, à l’article L.235-5 du code du travail devenu l’article L 4532-6 et suivant du code du travail, que l’autorité et les moyens conférés au coordonnateur par le maître d’ouvrage, sont fixés contractuellement.
(Article L4532-6 du code du travail :
L’intervention du coordonnateur ne modifie ni la nature ni l’étendue des responsabilités qui incombent, en application des autres dispositions du présent code, à chacun des participants aux opérations de bâtiment et de génie civil.)
Les articles suivant L4532-5, R4532-6, R4532-2 renforcent qu’il est de l’autorité du maître d’ouvrage de préciser l’estimation avec le maître d’œuvre et lui-même l’opération de construction parce que le CSPS n’est pas un technicien de la construction en estimation d’un projet de construction.
La responsabilité du maître d’ouvrage est celle du titulaire du droit d’administration de l’ouvrage.
De plus, les contrats de maîtrise d’œuvre précisent les droits et obligations du maitre d’ouvrage.
S’il s’agit d’un marché public, le contrat devra se référer au cahier des clauses administratives générales applicable aux prestations intellectuelles (C.C.A.G./P.|) lorsque la mission est confiée par un maître d’ouvrage public à une personne de droit privé.
Article cités :
Article L. 4532-5 – Code du Travail
Ordonnance n° 2007-329 du 12 mars 2007)
Moyens nécessaires à l’exercice de la mission
Sauf dans les cas prévus à l’article L. 4532-7, les dispositions nécessaires pour assurer aux personnes chargées d’une mission de coordination, l’autorité et les moyens indispensables à l’exercice de leur mission sont déterminées par voie contractuelle, notamment par les contrats de maîtrise d’œuvre.
Article R4532-6
Créé par Décret n°2008-244 du 7 mars 2008 – art. (V)
Afin notamment d’assurer au coordonnateur l’autorité et les moyens nécessaires au bon déroulement de sa mission, le maître d’ouvrage prévoit, dès les études d’avant-projet de l’ouvrage, la coopération entre les différents intervenants dans l’acte de construire et le coordonnateur.
Les modalités pratiques de cette coopération font l’objet d’un document joint aux contrats conclus avec les différents intervenants.
Article R4532-29
Créé par Décret n°2008-244 du 7 mars 2008 – art. (V)
Le maître d’ouvrage justifie, sur demande de l’inspection du travail, de la compétence du coordonnateur qu’il a désigné.
Voir la page 15 circulaire DRT n°96-5 du 10 avril 1996″
Source:Jean-François de Richemont Ingénieur CSPS Niveau 1
J-F de Richemont Ingénieur IPF en prévention des risques sur Linkedin
« Les points à prendre en considération lors d’une situation d’accident du travail.
Lorsque la CPAM procède à des investigations sur les circonstances ou la cause d’un accident ou de la maladie, un questionnaire ou enquête auprès de l’employeur et de la victime, est mis en œuvre.
Depuis le 1er janvier 2010, être contradictoire et informer les parties (l’employeur et la victime ou ses ayants droit), au moins dix jours francs avant la prise de décision, sur les éléments de l’enquête susceptibles faire grief au fondement de l’accident.
Par ailleurs, il y a aussi une possibilité de consulter le dossier (D. no 2009-938, 29 juill. 2009, JO 31 juill. ; CSS, art. R. 441-14) à toute demande.
Cette information est faite « par tout moyen permettant d’en déterminer la date de réception » (par exemple par lettre recommandée avec AR ou écrit électronique). »